La Guerre Jusqu'Au Cessez-Le-Feu Poem by Marcel Aouizerate

La Guerre Jusqu'Au Cessez-Le-Feu

Le temps passe en secondes la durée d'un flip
Pour ces fébriles émules de Gavilo Princip.
De ma capsule sauve, j'écoute la rumeur
Des pitiés en cale sèche, des vibrations du coeur,
D'une théorie d'attentats qui serait ma calèche.
Une violence terrible est dispensée par l'alarme,
Derrière l'uniforme, la femme armée fond en larmes,
Et la majesté martyre s'immole puis s'exhume,
Voici donc l'imposteur coranique et posthume.
Avoir la minute et moins pour rejoindre la file,
En trainant pour le père, les enfants difficiles,
Et tous du féal jusqu'au roi allaient dans la carriole
Passant les fous hideux dansant la carmagnole.

Friday, July 11, 2014
Topic(s) of this poem: war
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