Ce pied de verre à l’éclat de rubis
Laisse une trace sur la marqueterie
De la table basse assise sur le tapie
Les rideaux sales sont tirés à l’abris
Des rayons réverbérant l’obscurité unitaire
La poussière se fait velours d’orgueil
Les bonbons au miel se décomposent au seuil
Du gout, dans l’armoire en chêne de grand-mère
Le grincement du parquet trahit les visiteurs
Accueilli par les aïeux fantômes réfugiés
Se mêlant à double tour dans la pièce fermée
La vie a quitté pour un temps ses odeurs
L’horloge est restée de marbre, rose
Ses aiguilles en letton ont vieilli
Elles se courbent et se croisent
A peine grinçantes à l‘infini.
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