Un Marin's Song Poem by John Lars Zwerenz

Un Marin's Song

de va-et-vient,
cassé avec chagrin,
mes traces aller, comme
un arbitraire leaf,
où les frontières du débit de la rivière
en tourbillons de violet, froid, en dessous de l'
isolement myrtle, des mourants le chêne, le bouleau pleureur.
Je suis assis dans une vigne recouvert de chantier,
dans un tourbillon de lames, ce qui rend une couronne autour de
mes bottes, à côté de l'église.
Et tout ce que je considère comme
vrai
qui a encore la vie,
(comme la pensée de mon épouse
l'inhalation tous les proliférations d'une teinte écarlate)
simplement me hanter dans mes rêveries de vous,
Mon sable grisonnant ange de ravissement et de la rue.
Et donc Saturne monte,
comme la brosse se plie
au-delà de mon pea enduire, dégustation de saumure.
Je vais me noyer dans l'océan de vin doux,
et voler ses chansons les sirènes de la béatitude, de la voile à
l'orient- sur les rives de Boston,
aux graminées de Harvard- de bonheur éternel,
où je suis, Dionysos, marié, vous le apollinienne c'!


John Lars Zwerenz

This is a translation of the poem A Sailor's Song by John Lars Zwerenz
Tuesday, May 20, 2014
Topic(s) of this poem: sailing
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John Lars Zwerenz

John Lars Zwerenz

NEW YORK CITY, U.S.A.
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