Agaton dit, par la voix d'Aristote,
De certaines choses
Qu'il est permis d'imaginer,
Qu'elles sont toutefois impossibles,
Et que le plus puissant des dieux
Ne pourra jamais faire que
Le passé n'ait pas existé.
Je te trouverai, après la foi
Dans les chefs d'oeuvre de la patience,
Je te trouverai, après la peur
Dans les répétitions infinies du sexe,
Je te trouverai, après l'absence
Dans les échos liés aux voix de tes fils.
Là où tu t'es caché et là où tu m'attends
Depuis que cette chasse commença -
Avec l'affront fait au crédule qui jouait
Sa première partie de cache-cache
Et qui découvrit le pot-aux-roses
Dans le regard de son ascendance,
Le pantalon sur les chevilles,
Le coeur confus serré entre
Des mains familières et avides.
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