Les Voix Fractionnaires Poem by Marcel Aouizerate

Les Voix Fractionnaires

J'ai appris à me taire dans les parades
Je sais être coupable au milieu des saints
Ma candidature est une hypnose,
Ma trace, une espérance;
Sur ce rocher commence l'attente dont
Personne ne connait la durée.

Hésitant aux seuils des portes,
On a libéré de nombreux pendules devant nos yeux,
Celui de l'immigré et du riche de classe,
Celui de la valeur travail et
Celui de la jeunesse,
Celui de l'obtus et celui de l'obvie.

Nos esprits sont devenus pesants
A chaque battement vers le choix;
Entendons nous, je ne traite aucun postulant d'imposture,
Je dis leurs candidatures comme des serpents.

Confus au moment du vote,
Nous le sommes moins au temps des comptes,
Car il est d'autres résidus à la campagne et
Ce sont les promesses.
Je tiens de la science que ces traces nous serviront
De pesée lors du déficit.

En fait,
La mathématique aurait des choses à dire mais
Je laisse à la réflexion le fait que nous ayons choisi
Au hasard l'envers, en droit.

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