La main qui se donne,
Elle se lance dans le profond sommeil du midi,
Elle regrette l’avenir de son lendemain,
Elle plonge dans les souplesses des profondeurs,
Elle palpe sans toucher le creux,
Elle palpe, juste dans ses bords,
C’est une forêt, la forêt dense,
Elle danse en rythme,
Elle se noie,
Elle perd son rythme,
Elle tourne et tourne encore,
Dans sa maison en feuillée,
Elle rebrousse chemin,
Mais elle s’écarte à nouveau,
Qu’une seule chose,
Retrouver le chemin du retour,
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