Ce sont nos villages
Ce sont nos vies que nous laissons
Gardées par des sentinelles indifférentes
C'est le chemin de pitié qui se perd en forêt
Menant à la bouche d'ombre et sa descente
Tremblante dans la caverne
...
Je crains d'être compris par besoin
Et qu'on m'élimine si j'ai raison
A l'impasse du labyrinthe
Certes j'entendrai les pas d'assez loin
Mais rien n'égale l'inquiétude après
Qu'aie cessé la marche à l'étage
Et je ne veux pas souffrir sans fin
...
Avec toi, grondait l'incessant orage
C'était le prix à payer pour un
Seul souvenir sensible et sage
Contenu dans une seconde de vie;
Mais sans toi... nous n'aurions point
Quitté le village, ni laissé nos vies
Dormir, assises dans leurs cages.
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