Ici-bas perdu dans les alternatives
D'un risque médical prenant source
Dans le regret de n'avoir pas su
Agir à l'age de la folie,
Ces choses ci sont vraies
Dans les feuilles
Car un et un font deux à la racine.
Maintenant que mon nom a pris sa place
Dans un fichier puis un autre,
Qu'il faut en imaginer la vindicte
A la lippe de l'indigent, du bourgeois ensuite,
Tout ce qui existe en plaine
Reste hors de portée du chiffre,
Et quelque chose existe sur la cime
Justifiant les calculs.
Je regarde le ciel comme on voit la forêt,
Mon regard se perd en un
Paradoxe de lumière.
J'ai vécu par deux fois le début
De l'univers, ma naissance
Puis les ténèbres
Qui séparent les corps célestes.
La comète qui rythme notre existence
Vient plusieurs fois rappeler
L'infortune au passant,
Il ignore trop souvent - j'imagine,
Qu'il en est, au contraire, le battement.
Certaines erreurs relèvent de l'instrument
Et d'autres de la résolution intime
Je n'ai pas d'excuses à fournir
A l'astronome, ni au notaire
Je te demande néanmoins,
Fais que le monde reste entier
Fais qu'il tienne sur sa pointe.
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