vos yeux étaient bleus
si bleus
que j'ai dû y plonger
pour ne voir que
qu'ils ne sont guère la mer
mais ils sont le ciel
où je perds mes ailes
pour gagner une nouvelle liberté
qui noie les îles noires de mon âme.
.
.
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flottant le long du sillage
de frissons d'anges
je deviens lentement doucement éparpillé
dans mille étoiles blanches infinies
qui contre la tombée de la nuit éclaireront vos yeux
qui avec votre dernier clin d'œil tomberont dans la nuit.
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.
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