'Bonjour, je suis Général Baruku,
je suis de la planète du Congo' - et
je réponds: 'Nous vous souhaitons
une chaleureuse bienvenue
en Afrique du Sud'- et je dis:
'Il ya une mystérieuse énergie
qui préside aux destinées de
l’univers'… et puis on chante:
'Aux armes, Citoyens! Formez
vos bataillons! Marchons, Qu’un
sang impur abreuve nos sillons…'
Nous avons ca de la France… mais
moi, je criai avec Victor Hugo:
'Demain, dès l’aube, je partirai,
je sais que tu m’attends…'
- le brave militaire
- Qui entend 'L’appel du tam-tam'
– il demande – 'Qui l’apaisera,
mon cœur'– 'Les sanglots longs des
violons avec une longueur monotone'
J’explique: 'Nous ne sommes pas
au centre de l’univers, la matière
dont nous sommes faits n’est pas
non plus celle de l’univers!
Et je continue: 'Il ya [sanglot]
un courant d’air; voulez-vous
fermer la fenêtre…' 'Mon
général Baruku, avez-vous
votre carte d’embarcation?
Et le petit déjeuner, ca fait
bien, non? Vous avez bien
dormi? Vous êtes content? '
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