La cour neuve et cet amour ce désaveu
Jais et bleue, le dé, les cartes veuves
Dans la distance réconfortante
Déferlent d'incompréhensibles orages
Habillés à chaud dans les vents qui se lèvent
Autant de cerf-volants d'ignorance
Autant de manifestations de la chance
Rendues possibles par les désaccords
Des voix étrangères sous le boisseau
Mélancolique concorde à ciel ouvert
Seule à témoigner de nos coups de sondes
A la fin tout est pépite et tout est pierre
Mais juste avant nous sommes vivants
D'avoir imaginé le meilleur à l'unisson.
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