Il y a des mots qui sont inaudibles
Et des paroles qui sont passivement muettes
Oh! Les mots, les verbes, les noms et les fausses pirouettes
On se pose des questions incrédules.
Il y a des gestes qui sont parfois compréhensibles
Des renards astucieux qui se cachent derrière des vices
On comprend très bien pourquoi les racistes
Sont, par intermittence, invisibles.
Oh! Le silence où les mots n’existent pas
On voit les rats dérobant la boutique des visibles et les chats
Patiemment et intelligemment, examinent la liste
Des dénoncés qui demeurent sages et paisibles.
Les mots sont souvent très dangereux
En face de l’inégalité, aux alentours d’un feu
Qui s’apprête à consommer la ville désespérée
Où les paroles demeurent muettes et étranglées.
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