Pour t’oublier il fallait éloigner des places
Qui me parlent de toi
Le parc, la plage, et le marchant de glace,
Les maisons et leurs toits
Tout me r’appellent cette grâce
Qu’elle a forgé ma foi
Je t’aime, mais je te laisse,
Pour faire ton propre choix
Mon cœur est une statue de glace
Qui se fend entre ton cœur et ton foie
J’ai lu les histoires d’amour de toutes les races,
Sur les ruines, les murs et sur les toits
J’ai trouvé que nous avons beaucoup de traces
Et notre amour est plus courtois
Ni les ruines ni le vaste espace
Peuvent m’éloigner de toi
This poem has not been translated into any other language yet.
I would like to translate this poem