Je pleure pour un homme qui ne comprendra jamais mes problemes. Ta ville, mon garçon est trop longue, comme ma vie et le pouvoir de la sienne. Je plaure pour une pluie noire bien trop proche et pour une memoire bien trop lointaine. Je t'aime.
Seule je marche sur une rue grie aux ponts trop fragiles et au broullard plein de promnesses mortes et panebres. Et mes larmes sont si molles, comme unepluie aggrassive, ni sonore, ni celebre.
Il n'y a rien sur l'ecran de ma vie et de la sienne.
Il n' y a rien dans se monde qui nous appartienne.
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