La mort, c’est sortir d’une porte
Quasi patibulaire qui n’existe pas.
C’est quitter la vie avec ses faux pas,
Pour atterrir sur une piste morte.
La mort, c’est entrer dans une porte
Invisible qui n’a ni clés, ni gonds.
C’est se trouver dans le néant, au fond
Sibyllin de l’abîme ancré dans une forêt morte.
C’est sortir ou tomber subrepticement,
Dans la falaise, où personne ne sort pas.
C’est se glisser, comme un serpent vers le trépas.
C’est voyager, vers une direction, où personne n’y retourne.
C’est la flèche qui ne régresse pas, c’est la terre qui tourne
Comme une boussole, dans le sens dextrogyre du vent.
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