Si je plonje dans la mer de mon âme,
Je vois les pappilons qui portent les couleurs de tes yeux.
Si j'ouvre les ailles de mes douleurs vres les cieux d'antant
Je sent le vent qui coulait dans notre sang.
Mais, helas, j'ai plus le pouvoir
De ces blanches et longues memoirs
Parce qu'un jour, faisant l'amour
Tu as vu sur mes epaules fleurissant
Le blanc interdit des fleurs de lis
Qui ont tue ton regard pleurant.
C'est alors, que toi, mon immortel amour,
Tu as connu la mort
Dans la lumiere de notre sort.
Moi, je suis tombe dans une autre vie
Pour refaire le long chemin
Des gens qui portent l'amour perdu
Dans le Paradis de l'infinit des fleurs de Lis.
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