Une nuit, j’ai pris le menton d’une femme par l’index
Tel un crochet je l’ai ramené lentement à mes lèvres
Moi-même enivré perdant tout sens de l’équilibre
Je me suis évanoui au sol ne supportant plus l’ivresse
Vomissant les vagues qui m’ont lentement agité
Mes claires inspirations au fonds ne durent jamais
Elles s’agitent trop souvent tel un flash dans ma tête
Traversant mon corps lévitant dans un rêve inerte
Cette fille n’est jamais apparue dans mes rêves
En me réveillant mes flashes me reviennent
La cloche de la porte à midi a sonné la trêve
Elle se tient là grelottant dans un pull de laine.
This poem has not been translated into any other language yet.
I would like to translate this poem