Elle se présenta avec son sourire éclatant et timide, brossée d’une robe mi-longue repassée avec un pétard, les cheveux en pagailles la recouvrant de moitié, mais laissant apercevoir toute sa féminité. Sans peur elle montra qu’il s’agit de A tel la première qui puisse être. Elle me sourie et de surprise me parla de confusion entre deux gares. Elle fut gênée mais garda son charme d’instant comme figé sur ce beau visage orné de boucle d’oreille d’aventurine. Anabelle d’Olivet me fit passer le temps de la file d’attente avec tant de plaisir discret remplit d’innocence et de jeunesse.
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