Tu es la lumière et je suis la nuit,
Je suis ce que tu n’as jamais saisi,
J’entoure par le silence et les éclairs
Abandonnant l’esprit à ses chimères,
Pourquoi chercherais-je à t’aider?
Par les prospectives d’un savant fou aux aguets
Ordonnant sa vue à calmer tous nos mystères
Telle une pelote acharnée dont on ne peut plus se défaire
C’est une drôle de liaison que d’imaginer
De vivre ensemble pleinement sans se toucher
Serais-ce un grand pas pour les démarcheurs?
Laissant nos âmes en l’air saisies par des voleurs.
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