Autodafé Poem by Marcel Aouizerate

Autodafé

Il téléphone du bûcher
Il dit que tu t’es blessée
Et qu’autour de toi s’enroulent
Les rues du souvenir

Des sentiments y respirent comme des chiens et
Il se souvient avoir ouvert les mâchoires
Pour que tu t’éloignes.

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