Ecrivain De La Négritude Poem by kafun lady

Ecrivain De La Négritude

Ce grand travail ne fait que commencer.

C'est un long sentier, un chemin,
Où l'on doit absolument atteindre
Une quelconque ligne d'arrivée.
C'est dans un souci d'abord particulier,
Puis générale que naît la révolte;

Parce qu'écrire pour moi, est une forme de révolte; Une renaissance tout simplement.
Les gens ont besoin d'apprendre des choses
Non pas qu'ils ignorent,
Des choses simples de la vie,

Beaucoup plus simple même de leur existence.
Cela fait drôle;
La nature par exemple,
Chacun vie avec sa réalité naturelle,
Mais personne ne peut savoir ce qu'est la nature

Et ce qu'elle peut réellement ressortir.
D'aucuns ont besoin qu'on leur interprète
Ce langage combien favorable de la nature.
Ce qu'elle dit...,
D'autres par contre,
Comprennent en quelques lignes,
Mais sans avoir les mots pour la qualifiée.
Tout ce que je peux dire est que cela nous fait énormément du bien.
A l'instar de l'amour par exemple,

Un sentiment bizarre
Qui nous pousse à pleurer, sourire, etc...
Mais pourquoi donc tout cela.
Les gens veulent en savoir plus.
Le métier d'écrivain est un métier

Que j'ai voulu toujours exercer.
Motivé par le cycle naturel même de la vie;
La naissance, la vie ainsi que la mort,
Je ne pourrai me débarrasser de cette carafe.
Le chemin a une grande importance dans ma vie.

Eh bien, c'est le chemin que vous autre,
Les écrivains de la Négritude,
Vous avez choisis,
Merci,
Parce qu'au moins vous avez eu

Le courage d’écrire.
Et peut être d'accoucher
Pour soit même ses pensées
Sur un papier et en être
De temps en temps fier dans le secret
Mais nos pensées ont de sens
Que le jour où
Elles sont révélées au monde entier.
Ce n'est pas facile d'être soumis

A l'appréciation du monde,
D'être ouvert aux critiques
De ceux objectifs et des gens non objectifs;
Juste dans le but de nuire.
Ma sœur ou mon frère,

Parce que tu as choisis de devenir
Un écrivain de la Négritude,
J'ai beaucoup à te dire,
D'abord je commencerai
Par dire merci d'avoir porter

Cette lourde charge;
Tout en sachant que
Les gens doivent lire,
Se ressourcer toujours
Quelque part;

Cela fera que
Ton inspiration ne soit jamais
En rupture de stock;
Sinon...
Lire m'emporte souvent
Dans un fossé sans nom,
Où je n’ai point envie d'y revenir.
C'est comme dans un profond,
Très profond sommeil
Où l’on n’a pas du tout envie de se réveiller.

C'est comme si l'on était entrain
De tomber du haut
D'un immeuble à 20 étages
Sans jamais toucher le sol,
On pleure, on tremble, ...

Enfin de compte, on n’y arrive jamais.
Mais pourquoi un tel parcourt?
Sinon, la raison même de l'existence?
Les gens ont besoin de se ressourcer.
Pourquoi travailler et mourir après?

Pourquoi n'est pas attendre carement la mort?
Un cercle vicieux.
Pourquoi et toujours pourquoi.
La vie de l'homme a trop des pourquoi.
Voilà pourquoi

L'homme noir en particulier n'avance pas.
Au lieu d'agir,
Il perd tout son temps
Ā se poser des questions,
Et c'est comme cela
Qu'il perd tout son temps.
Mais néanmoins,
La raison de ce grand principe,
Qui la saura.
L'homme est issu d'un sentiment bizarre

Qu'on appelle l'amour.
C'est quoi en fait?
Par cela ne se trouve pas
Toujours une explication adéquate.
Le produit de l'amour doit être exemplaire

Dans tout domaine.
Aujourd'hui nous assistons
Ā un changement de moeurs,
Nous avons des viols,
Des meurtres etc...

Est-il le produit de la société;
Ou sans cette mode de vie,
Le monde ne sera plus monde?
Un sentiment presque inexistant,
Mais forcer d'y croire.

L'homme noir aujourd'hui encore travail au
Service de l'homme blanc;
Une nouvelle forme d'esclavagisme.
L'homme noir réduit intelligiblement
Par ce Neo-Esclavagisme,
N'a de choix que de se limiter
Ā travailler aux besoins
De sa petite famille.
L'épanouissement de sa carrière
Ne lui dit plus rien.

D'abord son ventre.
Conséquence, moins d'intellect,
Et beaucoup plus d'intellectuels corrompus.
Le cercle vicieux a fait que
Nous puissions toujours dépendre

De ces gens là;
L'homme noir n'est pas
Encore capable de
S'auto prendre en charge;
Nous disent-ils...

La folie de grandeur,
Le complexe, la jalousie
Et autres...
Voilà ceux dont
Nous sommes réellement objet...

Aujourd'hui encore j'accepte ma négritude,
Je ne me voile pas la face,
Je suis beau, charmant, et intelligent,
Là où tout le monde peut, je peux moi aussi,
Là où tout le monde doit,
Je dois moi aussi,
Je chante la libération,
Je danse que je suis noir,
Et je pleure mon épanouissement,
Jusqu’à quand cette emprisonnement?

Mon intellectualisme n’a pas libre cours,
Mais pourquoi,
Trop de pourquoi,
Me fait retarder à mon dessein,
Trouverai-je la voie de sortie,

Je dois me battre,
Me battre et encore me battre,
Je trouverai; certainement que oui...
Le vouloir, c'est le pourvoir,
Je veux, et j'y arriverai, car c'est mon but.

Nous arriverons...

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