On survole les verdures, cherchant un bon refuge.
On y cache nos peurs, rejetant nos cauchemars.
On y cherche. On s'y trouve, laissant rien au hasard.
On sursaute entre la vie et la mort, telle une folle muge.
Les collines étant étrangement estompées par la brume,
Furent incertaines de traits après un incroyable déluge.
Certes, un drôle de mystère s'étale sur la surface de l'amertume,
Et dans le parfum de l'océan, on y abrite une colonie de solifuges.
Par Walid Boureghda
10 Août 2016
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