Est coupable celui dont le souffle devient égal au coucher
Ignorant des apaches accroupis derrière le parapet de ses rêves
(Qui viendront murmurer à ses oreilles
Les vastes soucis de sa quarantaine.)
Il s'éveillera silencieux aux petites heures,
Interdit face aux portiques, attendant des réponses.
A chaque aube blanche, la question est posée aux hommes assis
Derrière le soleil; ce qui se passe dans la nuit
Permet de vivre un jour de plus,
Voici lequel.
This poem has not been translated into any other language yet.
I would like to translate this poem