C'est la dernière barricade, la ligne de feu, le trait rouge
Au-dessus d'elle
Nous ne nous prenons plus par la main.
Ni les amis, ni les parlementaires, ni même les compagnons de beuverie.
Le dernier jour, la dernière phrase, la dernière chanse.
Sur la frontière brûlera le mot nous.
A travers le feu ne viendra pas le mot vous.
Il ne restera qu'un ils.
Asseyons-nous ce soir sur les malles de notāre raison,
Sur less acs à dos de notāre sens de l'honneur
Et comptons les quelques sous de notāre vie
Pour un aller simple ou un retour.
Asseyons-nous jusqu'au matin.
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