Dans la force de l’âge,
Les orages grondent,
A la face du monde,
Possédant le passage,
Qui mène sur les toits,
Au dessus des ombrages
Qui noircissent notre foi,
Adieu les notables!
Je ne laisse que des frondes,
Et des larmes en héritage,
Je ne crains plus la loi,
Je m’incline véritable,
Les portes s’apitoient.
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