Même si cela était vrai,
Et même si, nous ne pouvions le dire,
Il suffisait de le cacher,
Dans le moindre,
L’ombre du vide réapparaît,
Une seule question de l’âme,
L’âme doit vivre,
L’esprit se complète,
Et l’on est prêt,
Prêt à dire et à faire,
L’encouragement,
L’on se demande, et l’on aperçoit au loin,
Sa fine silhouette de guerrière,
Mais elle bondit encore,
Et je respire,
Si loin nous venons,
D’où nous venons,
La paix
This poem has not been translated into any other language yet.
I would like to translate this poem