Le frimas indécent
Dont les poutres se soutiennent
Comme des trapézistes,
Glaciaires
Atmosphériques
Frais
Emblématiques,
Les tranchées de l'été jappeur
Ont peu à peu gagné en modestie
Et les chariots du blanc pays
Sur ses flancs secs ont déposé quelques stries,
Aujourd'hui
Les gens arborent des sourires bonasses,
Emplis et complets
Leurs yeux mirant la voûte d'éclectiques palais,
Sans feuilles d'or
Sans vergetures bourgeoises
Car le Monde lui-même
Est un immense palais,
Les arbres s'incendient
Du moment que nos doigts
En cautérisent
Les plaies,
Écorces rudes
Pari sûr
L'escalader
Même freluquet.
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