Né dans un temps sans registre ni papier
À l’époque où ont été abondantes, les olives
Les dents des poules pleines de salives
Indiquaient, encore, ce qu’il fallait espérer
Les maisons étaient-elles en bois?
Non! Il n’y en avait pas, ni de meuble
Juste des tentes suspendues sur le sable
La hauteur ne dépassant jamais l’estime de soi
Le cycle du temps déterminait avec rondeur
Le lendemain, économe et prospère
L’eau dans nos mains glissait à la faveur
De la chance, et jusqu’à plus soif de prière
Es-ce un parcours de survie que de voyager?
D’inventer des tours pour rester?
De redevenir animal pour chasser les jaloux?
Ou de se cultiver de bien pour résister à tout?
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