Elle tapissait le ciel
Comme une énorme cerise écrasée
Lévitant les yeux vers elle
Soudoyant les mies moisies
À l'aumône des damnés
Deux milles équidés libres
Ébruitant leur dam naturel
Vers les possibilités teignes
Qu'offraient ses ivres bayous clairvoyants,
Aux côtés des lianes immigrantes
Je reviens seul
Comme l'unique réverbère
D'un quelconque quartier miséreux
Je passe à gué l'ombre
D'une courge calcinée dans ses décombres
Qui provoque l'émotive corde
De mes plus graves octaves.
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