Paris est une vie édentée
Milles pavés et marchés perdus
comme un serpent faisant sa mue
Difficile d’y respirer
Il pleut tout le temps
Les métros sont à l’arrêt
Je m’arrête sur le zinc
Pour prendre un petit café
J’écoute les bruits en français
Raillés ce temps qui nous réuni
Il faut repartir pour laisser
La place aux autres abrutis.
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