Tranchées d'oliveraies au torse bombé
Par l'expiration méditerranéenne
Guidant le passage
Du jeune cavalier.
Lui qui fut pressenti depuis les cataclysmes de l'ère Homèrienne
Où la paysannerie comptait les mois
Comme en rives caduques
Et les semaines
Comme l'on engouffre les carêmes.
Tunique au vent, l'artère flagellée par des mois d'impotence
Le cavalier dévale le sentier, ébouriffé par l'ambition des autres
Mais la missive qu'il veut livrer est plus que géniale
Qu'ainsi vaille le coût des fuites et des nuits perdues à galoper.
Galope, galope, allez galope!
Transgresse les glaives de l'État des Faits
Réhydrate les jardins secrets
Les rêves sinon perméables
Au gourdin de l'habitude.
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