j'aurai connu la guerre et comme on donne la mort
avec la rage intacte du nouveau-né
humain hurlant, à coups de crâne qui a saigné sa mère
je saurai comme on donne la mort, loin des dieux et de toute mémoire
alors que notre propre nom à déserté notre bouche
et que les guerres paraissent si semblables qu'il n'y a plus de camp
seulement une douleur à trop serrer la mâchoire
le sexe raide pressé contre le ventre
avec la peur d'être saisi là par la morsure froide.
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