Ode à Paul Verlaine
Verlaine, Verlaine, où êtes-vous allé? Mes pensées, aujourd'hui, soufflées par le vent, vous ont vu dans un tamarin de Kendal Green, qui a balancé dans le sirocco ivre. Je peux vous voir maintenant, dans une cour majestueuse, où les amateurs de rêves frappés par la mer, dans un état impeccable de félicité, tous les bardes, comme vous, d'une manière mystique. Et vos versets - ah! C'était vraiment votre cœur! Ne jamais colorer ni teinte, mais nuance (en bleu) Glamé sur les roseaux que vous avez marché sur la rue. Comment vous avez pleuré dans les vallées lorsque votre amour est parti! Maintenant, la poussière des bibliothèques couvre le roi qui a fait un ciel hors de la souffrance, et du marbre noble hors de l'argile sans forme. Oh! Comment je me réjouirai, Quand, avec une voix singulière, Nous serons comme un seul dans le jour éternel!
John Lars Zwerenz