Conte De Deux Cites. Poem by Michael Walker

Conte De Deux Cites.

Malade comme elle s'approche, malade comme elle part.
En automne les epaves des maisons brulees se tiennent non pas rasees.
En hiver barbues de la glace de voiture de pompiiers, le ceramiste et le graveur des carreaux, -
Les artisans bien aimes arrivent tues a leur lieux de travail.
Et le fleuve, avare, glouton, se retrecit et s'agrandit.
Et des autocollants protestent comment les gens aiment habiter ici. La cite haie.
Et la cite aimee? A une distance seulement peut-on l'aimer.
Comment d'autre est-ce que ces petites places avares et ces boulevards qui germent leurs mauvaises herbes du foin-paille
Deviennent les Champs-Elysees et la Rue Des Princes, sauf en memoire?
Des petits chemins et des ruelles, des terrains vacants lies des fleurs des champs
Ou un amant se tourna en souriant et fit plus de simplement baiser,
Et des coins ou des petites hilarites se rassemblaient, en taquinant,
Mais chantant a l'unison, - ceux-ci le bonheur des cartes geographiques.
La cite hai. La cite aimee. La meme cite.

-'Tale Of Two Cities'. Mark Jarman.

This is a translation of the poem Tale Of Two Cities by Mark Jarman
Sunday, May 17, 2015
Topic(s) of this poem: paris
POET'S NOTES ABOUT THE POEM
The title was also used by Charles Dickens for his novel 'A Tale of Two Cities'(1859) , which was about London and Paris. This poem is about Paris only, in the season of autumn turning into winter. There is the unexpected phrase 'craftsmen turned up killed at their work places'. The poem refers to the River Seine, in unflattering terms, 'stingy', 'greedy, .
The tone is love-hate ambivalence towards Paris. The city is both loved and hated.On my one visit to Paris, I loved everything about it, but only for three nights. There is a great difference, I find, between being a mere tourist or being a permanent resident.
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