Sur l'écran de tes yeux, je peux lire,
Des jolis poèmes. Mignonne, j'ai osé d'écrire,
Pour t'honorer, te révérer, et te vénérer.
Oh! J'aime l'incomparable finesse de ton sourire,
La douceur de tes lèvres, la blancheur de tes dents,
Et ton haleine annonçant la venue du printemps!
Les bourgeons commencent à paraître. Les oies,
Saoulées par un long hiver, chantent avec une voix
De joie, d'exaspération, d'allégresse, et de gaîté.
Sur l'écran de tes yeux saillissent des pétales allumés,
Et myriades de nuages d'ivoire. Mignonne, là, je peux lire,
Des poèmes écrits, juste pour embraser ton ravissant sourire.