Un Chien Noir Poem by Michael Walker

Un Chien Noir

Je me suis promene le long du Poulevard Hollywood.
J'ai regarde en bas et il y avait un grand chien noir
qui marchait a cote de moi.
son pas etait exactement le meme que le mien.
nous nous sommes arretes aux feux ensemble.
nous avons croise les petites rues ensemble.
une femme nous a souris.
il a du marcher huit blocs de rues avec moi.
puis je suis entre dans une epicerie et
quand j'en suis sorti il etait parti.
ue elle etait partie.
le chien blanc et merveilleux,
une trace de jaune a son poil.
les grands yeux bleus etait partis.
la guele grimacant allee.
la langue etalee etait allee.


on peut perdre les choses si aisement.
on ne peut garder les choses por toujuors.


Je me sens les bleus.
Je me sens les bleus.
ce chien m'aimait et
il avait confiance en moi et
Je l'ai laisse partir.


-'white dog'. Charles Bukowski. From 'The Pleasures of the Damned', p.508.

Wednesday, June 17, 2015
Topic(s) of this poem: pet
POET'S NOTES ABOUT THE POEM
It is quite a touching account of how a white dog walked beside him for eight blocks in a city, and seemed to trust and befriend him. But when he came out of the grocery shop, his new friend was gone. I had a similar experience with a dog once. While walking home at night, a dog joined me for a while. I sensed that this dog liked me and wanted company, but then I never saw him again.
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