Mademoiselle Helene Slingsby etait ma tante non mariee,
Et elle habita une petite maison pres d'une place a la mode
Soignee de quatre domestiques.
Maintenant quand elle mourut il y avait le silence au ciel
Et le silence a son bout de la rue.
On avait baisse les volets et l'ordonnateur de pompes funebres s'essuya les souliers-
Il savait que cette sorte de chose etait arrivee avant.
On pourvoyait genereusement les chiens,
mais bientot apres le perroquet mourut lui aussi.
La pendule Dresden continuait a tictaquer sur la tablette de cheminee,
Et le valet de pied s'assit sur la table a diner
En tenant la deuxieme domestique sur ses genoux-
Elle qui avait toujours ete si prudente quand sa maitresse etait vivante.
- ' Aunt Helen'. T. S. Eliot (1888-1965) .
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