Agenouillée dans sa dignité la forteresse.
Les grandes pierres qui élevaient la fierté très haut,
Abaissées, ruines
cyclopéens soi-disant, calamités de vieilles années,
couleur d'argent oxydé sous le soleil,
dans la mémoire des épopées, couleur d' or puissant.
Yeux de l' Hadès sombre, aveugle *
regardant avec envie les oliviers centenaires
florissant encore, surclassant le sort des mortels.*
Sourcil calligraphique de pierre, faucille solitaire, *
silencieux et seul surveille en permanence la mer brillante.
Sans la tête du rugissement
les lions jumeaux du linteau *
sceaux bouchons
des siècles primaires brillants.
Les rochers de la porte!
encore ici, pour renforcer le prix de la mémoire. *
Plein de nos hubris
béantes les pierres tombales royales *
dans les jardins circulaires de la mort. *
Sur la même citerne se réfléchit votre reflet *
à côté des reflets royales sanglants,
thyestéens et celles après la guerre troyenne, *
lit les questions dans ses propres yeux:
C' est le sang le prix de la grandeur?
[D.K.Galanis traduits]
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A very good translation of a poem that captures Greek mythology well.