Les sons
De la nuit de Harlem
Tombent l'un apres l'autre dans le silence.
Le dernier piano-joueur est ferme.
Le dernier victrola finit avec les
'Bleus du Garcon Jazz',
Le dernier bebe criant est endormi
Et la nuit devient
Aussi calme qu'un battement de coeur chuchotant.
Je m'agite
Sans repos dans l'obscurite,
Aussi fatigue que la nuit epuisee,
Mon ame
Vide comme le silence,
Vide d'un vide
Confus et douleureux,
Desirant,
Ayant besoin de quelqu'une,
De quelque chose.
Je m'agite sans repos
dans l'obscurite
Jusqu'a la nouvelle aube,
Triste et pale,
Descend comme une brume blanche
Dans la cour.
-'Summer Night'. Langston Hughes. 'The Collected Poems of Langston Hughes', Rampersad & Roessel op. cit., p.59. (Poems 1921-1930) .
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