('Alas I am struck by a mortal blow'.Agamemnon, speaking in a play by Aeschylus (525 BC-456 BC.) .
Sweeney au cou d'un grand singe etale les genoux
En laissantsuspendre en bas les bras pour rire,
Les rayonms de zebre le long de la machoire
S'en gonflant a girafe maculee.
Les cercles de la lune ombrageuse
Se glissent a l'ouest vers le Rio de la Plata,
La Mort et grand corbeau flottent au-dessus
Et Sweeney surveille le portail cornu.
Orion sombre et le Chien
Sont voiles; et les mers enfoncees se taisent;
La personne a la cape espagnole
Essaye de s'asseoir aux genoux de Sweeney
Se glisse en arrachant la nappe
Renverse une tasse a cafe,
Reorganisee sur le plancher
Elle gaspille en tirant en haut un bas;
L'homme silencieux vetu de brun de moka
S'etale sur le rebord de fenetre et reste bouche bee
Le serveur apporte des oranges
Des bananes des figues et des grains de raisin a serre;
Le vertebre silencieux vetu de brun
Se contracte et se concentre, se retire;
Rachel nee Rabinovitch
Dechire aux raisins aux pattes meurtrieres;
Elle et la dame a la cape
Sont suspectes, on pense qu'elles sont alliees;
Donc l'homme aux yeux lourds
Decline le gambit, se montre fatigue,
Quitte la salle et reparait,
En dehors de la fenetre, en penchant dedans,
Des branches de glycine
Circonstrient une grimace doree;
L'hote avec quelqu'un indistinct
S'entretiennent a la porte a part,
Les rossignols chantent pres
Du Couvent du Sacre-Coeur,
Et chanterent dans le bois sanglant
Quand Agamemnon s'ecria a haute voix
En laissant tomber leurs tamisages liquides
Por tacher le linceul raid et deshonore.
-' Sweeney Among the Nightingales'.T.S. Eliot.c.1920.
From 'Collected Poems', pp.59,60.
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